TIGRANE AVEDIKIAN // Réalisateur
Tigrane Avédikian est né en 1985 à Paris. Après avoir travaillé un an en production pour La Collection Portrait, coproduite entre 2003 et 2005 par Les films Hatari et Arte, Michel Klein (producteur des Films Hatari) lui propose de produire son premier court-métrage, un documentaire de fiction, Dans la direction opposée. Entre 2005 et 2008, Tigrane a travaillé pour une dizaine de réalisateurs de courts-métrages en tant que 1er assistant, avant de passer au long-métrage, en 2009, pour des réalisateurs comme Robert Guédiguian, Les frères Larrieu, ou encore Emmanuelle Bercot. En 2009, il réalise son deuxième court-métrage de fiction, Au Fond de L’eau (Andolfi production), et en 2011, un moyen-métrage coproduit par Epicentre Films et France 2, Un Mauvais Père.
MYRIAM DONASIS // réalisatrice
Myriam Donasisest née le 26 juin 1967 à Nancy. Dès l’enfance, Myriam est attirée par le théâtre et le cinéma. C’est le film « Papa est en voyage d’affaires » qui lui a donné envie de faire du cinéma. Autodidacte, elle réalise son premier court-métrage en 1992. Depuis, elle s’est perfectionnée à l’écriture cinématographique, la direction d’acteurs. Depuis a tourné 11 courts-métrages (Son’Ogre, Direct, Nuit Rouge, Amor, le jour de Grâce, Côté filles, Bang Bang je t’aime je t’aime, DV, des Vérités ?, Le lit froissé, Passage à Vide) et récemment « Histoire Belge » et elle a mis en scène des one women show.
Aujourd’hui, Myriam Donasis développe de nouveaux projets.
AZAMI BOUTHAÏNA // Ecrivaine-scénariste
Bouthaïna Azami est née à Tanger en 1964. Elle quittera le Maroc en 1982, après son baccalauréat, pour s’installer à Genève où elle poursuivra des études en sciences de l’éducation et en Lettres et enseignera la littérature française. Elle a jusqu’ici publié quatre romans aux éditions L’Harmattan : La mémoire des temps (1998), Etreintes (2000), Le cénacle des solitudes (2002), Fiction d’un deuil (2004). De retour au Maroc depuis 2010, elle collabore aujourd’hui avec des galeries d’Art pour des monographies d’artistes, s’est lancée dans l’écriture de scénarios, et prépare la prochaine parution de son cinquième roman aux éditions La Croisée des Chemins.
JEAN CLAUDE MERCIER // Ingénieur son
Après des études au lycée du Parc, il créé un groupe vocal avec des camarades rencontrés au Lycée, Le Quartet de Lyon. Une rencontre avec Bruno Coquatrix lui permet obtenir un contrat avec les disques AZ, d’être programmé sur les radios et de partir en tournée un peu partout dans le monde.
La vie des groupes étant chaotique, il décide quelques années plus tard de créer un studio d’enregistrement à Lyon. Au départ pour continuer à faire de la musique, mais petit à petit pour la production de publicités : radio, télé, mais aussi illustrations sonores pour documentaires et petits films industriels.
Il découvre également l’univers des voix Off…C’est aujourd’hui sa principale activité.
Fan de cinéma (à 13 ans, il faisait le mur le soir pour aller en cachette au cinéma), c’est le regret de sa vie de n’en avoir jamais fait.
MICHEL KUATE // Délégué Général du festival de Douala – Réalisateur
Après sa licence en droit, Michel Kuate décide de s’engager dans le cinéma. Il suit une formation de trois ans comme réalisateur dans le cadre du projet Classes de Cinéma initié par Bassek Ba Khobio. De 2002 à 2004, il travaille pour Ariane TV à Yaoundé, puis pour Canal 2 International, la plus grande télévision privée camerounaise où il signe des émissions à succès.
Côté cinéma Michel KUATE est propriétaire de 7e SENS, maison de production avec laquelle il a produit près d’une dizaine de courts métrages. En tant que réalisateur, il a signé plusieurs téléfilms diffusés au Cameroun.
Il vient de réaliser son dernier court métrage « Maïgaï », sélectionné au festival Ecrans Noirs.
En 2008, Michel Kuaté lance La nuit du court métrage qui en quelques année se positionne comme le 2e plus grands festival de cinéma au Cameroun.
Aujourd’hui au Cameroun, il est compté parmi les jeunes promoteurs de cinéma aux dents très longues qui, malgré la fermeture des salles de cinéma et la mauvaise politique cinématographique, veulent pousser le cinéma camerounais et Africains sur la place mondial.